Justice en France ? Quelle bonne blague !

Justice en France ? Quelle bonne blague !L’ami Olivier Bonnet, journaliste engagé et sans concession est attaqué pour ‘injure publique envers un fonctionnaire public’.

Pour être précis, Olivier est trainé devant le Tribunal Correctionnel de Paris pour avoir tenu ces deux propos (je cite la convocation au Tribunal, inutile d’envoyer violenter mes proches):

1 – ‘l’inénarrable ancien substitut du Procureur de Toulouse, Marc BOURRAGUE’.

2 – ‘On peut donc légitimement s’interroger, connaissant le CV de ce magistrat sur son ‘indépendance’ dans le cadre d’un tel procès, tant il est évident qu’il est ‘en coma professionnel avancé

Pour en savoir plus je me permets de vous diriger vers le blog d’Olivier Bonnet : Plume de Presse. Et si vous aimez la liberté d’expression et de penser n’hésitez pas à signer la pétition qui se trouve sur le blog et/ou à venir voir la Justice à l’œuvre le vendredi 4 septembre à la 17eme Chambre du Tribunal Correctionnel de Paris à 13h30 (l’entrée est libre dans la limite des places disponibles).

Dear Olivier Bonnet, committed journalist and without concession is attacked for ‘ public insult to a public civil servant ‘.

To be precise, Olivier is to be taken to the Court of Paris because of these two comments (translated from the warrant):

1 – ‘ the indescribable former substitute of Toulouse attorney, Marc BOURRAGUE ‘.

2 – ‘ Thus we can naturally wonder, knowing the CV of this magistrate about his ‘ independence ‘ in the framework of such a lawsuit, so much as it is obvious that he is ‘ in advanced professional coma

To learn more about this you can read Olivier Bonnet’s blog: Plume de Presse. And if you like freedom of speech and of thinking don’t hesitate to sign the petition which is available on the blog and\or to come to see Justice live: on Friday, September 4th in the Court’s of Paris 17th Chamber at 1:30 pm (the entry is free within the limits of available seats).

6 Réponses to “Justice en France ? Quelle bonne blague !”

  1. Merci beaucoup :)

    • En espérant que quelques citoyens passant par ici se sentent concernés par la possibilité d’exprimer son opinion (une idée révolutionnaire en France).

  2. Spip5 Says:

    Sarkozy en Judge Dreed, il fallait oser, heureusement que tu l’as fait ! Il est criant de naturel.

    • Yes !! J’avais peur qu’il ne soit pas reconnaissable (juste la bouche et les plis du menton)! Mais tu l’as reconnu !!! Je suis super content !!!! :)

  3. Imed Chellouf Says:

    Encore une autre blague !

    Je vous informe que je suis à la recherche désespérément d’avocat pour défendre mes droits. Je suis à Marseille. L’affaire m’oppose à mon université. Je vous expose brièvement mon litige.

    Je vous confirme dès le début que l’affaire m’oppose à des personnes bien placées. Je détiens des preuves tangibles à leur encontre. Toutes mes pénibles démarches pour obtenir un avocat, à savoir par l’intermédiaire de la Maison d’Avocats, par le conseil juridique de certaines associations ou aussi par contacts directes d’avocats, n’ont pas abouti. Les avocats finissent toujours par renoncer à saisir le tribunal, alors qu’ils m’ont accordé leur aval. Néanmoins, avocats contactés, ont envoyé un courrier . D’autre part je vous informe que je suis reconnu handicapé par deux COTOREP (MDH).

    J’ai été victime de discrimination/privations de droits de la part de mon laboratoire de recherche (VIC ex CRRM) tout au long de mon travail de thèse. Et la modification, au mois de juin 2004, du jury de thèse sans m’avertir, a abouti à des rapports de thèse manquant d’objectivité scientifique. Un rapporteur a même donné un avis personnel : « …sans s’orienter ensuite vers l’enseignement ou la recherche scientifique » qui me fermait la porte à l’enseignement et à la recherche ! Le Président de l’Université n’a pas accepté d’honorer ses engagements du 31/05/05, 25/07/05 et du 19/08/05 concernant l’inscription et la reconstitution d’un nouveau Jury de thèse à la place du précédent Pourtant, j’ai établi les erreurs scientifiques et les contradictions des rapports.

    J’ai été privé de mes droits de publication, de stage, d’accès aux logiciels nécessaires à mon travail. J’ai été victime de « contrôle à distance » de mon travail de thèse, engagements non tenus pour publier mon deuxième article, de confiscation de la base de données (avec l’ordinateur sur lequel j’ai travaillé) que j’ai créé. On me demande malgré cet abus de soutenir ma thèse. J’ai été dépité de voir le travail auquel j’ai consacré tellement de temps ainsi négligé. Cette situation m’a amené à contacter d’autres laboratoires pour valider scientifiquement mon travail de thèse. Toutes mes tentatives à l’amiable pour débloquer la situation ou pour récupérer mon travail de thèse n’ont pas abouti. A contrario je me trouve harcelé et intimidé par des personnes inconnues et qui ont des informations précisent sur moi, par téléphone mais aussi par Internet, au centre équestre mais dans la rue aussi, dans le bus etc. !

    Malgré ces obstacles, je me suis mis à approfondir mon travail pour présenter une thèse d’une teneur scientifique incontestable (et cela à l’opposé de certains travaux de recherche sur lesquels j’ai travaillé et qui manquaient visiblement de contenu, pourtant les personnes qui les ont présentés ont joui de toutes les facilités et de bourses ; certains sont même issus d’autres laboratoires).

    Etant à la recherche d’un logiciel pour la validation de mon enquête, M. G……, maître de conférence au département de mathématique à L….., m’a proposé de suivre ses cours de statistique en 2001. Bien que j’aie accepté, il ne m’a pas permis l’utilisation du logiciel (SAS) indispensable à mon travail ! Devant ce nouveau blocage, je me suis mis alors, à chercher à travailler dans d’autres laboratoires (on ne m’a pas expliqué la raison de ce blocage). Début de l’été 2002 le directeur du laboratoire d’océanologie m’a ouvert un compte pour l’apprentissage et la validation de mon enquête par SAS. Dès qu’on s’est rendu compte de ma présence dans ce laboratoire mon compte a été fermé.

    Mes pénibles efforts pour la réalisation de mon travail de recherche n’ont pas été récompensés contrairement à certains autres de thèses qui manquent visiblement de sérieux.

    J’insiste que toutes mes tentatives pour prendre un avocat qui défend mes propres intérêts ont été avortés. Mes trois saisines (sans avocat) du tribunal ont été rejetées pour vice de forme. Quant au Président de la République, que j’ai saisi le 23/06/08 puis le 13/08/08 pour faire respecter la constituante. Il a transféré mon dossier à la préfecture. Le chef du cabinet du préfet Mme Claire MORIN-FAVROT, me contacte par un curieux courrier me précisant que : «par courrier en date du 9 juillet 2008, la présidence de la République m’a fait part de votre demande d’emploi »! J’ai contesté, en date du 13 août 2008 la lettre du Préfet, auprès de Monsieur Le Chef de Cabinet Du Président de la République Palais de l’Elysée (Réf : SCP/UT/B105261). Monsieur le Président de la République n’a pas donné suite.
    Je me suis alors trouvé obliger pour la quatrième fois (les précédentes ont été rejetée pour vice de forme) de saisir le T.A le mois de janvier 2008 sans l’assistance d’un avocat !
    Cette fois-ci mon mémoire a été accepté. Le président de l’université a été mis en demeure pour répondre. Dans sa réponse datée du 5 mai 2009, il a demandé le rejet de l’affaire. J’ai répliqué.
    Ancien militant démissionnaire d’amnistie Internationale groupe 324 après avoir dénoncé le manque de son sérieux ainsi que de ses collègues de la LDH section Nord-Sud Marseille, j’ai essayé vainement de me rapprocher de certains autres organismes humanitaires comme la LDH, avocat sans frontière, OMCT etc. pour l’octroi d’un avocat !
    Face à cette stratégie de harcèlements, de blocages et du silence et/ou des réponses dilatoires qui perdure, je me suis mis à dénoncer ce qui se passe. Je vous rassure que je suis escorté chaque jour par des personnes de différentes races ! Ils sont bien organisés. Il paraît que ce sont les prétendus moines !

    Ce n’est pas la première fois que je rencontre ce genre de blocage à Marseille.

    Que faire ?

    • Bonjour Imed.

      Je n’ai malheureusement pas de réponse pour toi (n’ayant pas l’expertise), j’espère néanmoins que ton message sera lu par quelqu’un qui pourra t’aider ou t’orienter.

      Bon courage !

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